Tout ce qu’il faut savoir sur le K-Lamar

Le K-Lamar est enfin disponible sur le shop.


Cela fait des années que Ludo le pêche, dans toutes sortes de conditions, avec un seul objectif : concevoir un leurre capable de déclencher les plus gros poissons. Aujourd’hui, après de nombreux tests et ajustements, il est prêt à rejoindre vos boîtes.

À travers cet article, on revient en détail sur les choix techniques qui ont guidé son développement. Le but : vous donner toutes les clés pour en tirer le meilleur au bord de l’eau.

Le K-Lamar, c’est un leurre articulé en deux sections qui reprend l’apparence… d’un calamar. Oui, on sait : les calamars en eau douce, c’est pas encore pour tout de suite. Mais ça n’empêche pas les brochets de venir le taper violemment, comme s’ils en croisaient tous les jours. Avec ses 28 cm pour 145 g, le K-Lamar est clairement taillé pour les poissons de gabarit. Sans lest, il est capable de pêcher shallow, juste sous la surface, pour laisser une liberté totale d’adaptation. À chacun d’ajuster le grammage en fonction du milieu, de la profondeur ou du type de pêche. 

Dernier détail à ne pas négliger : le leurre est imbibé d’attractant… au calamar, évidemment. Une petite touche en plus, qui peut faire la différence dans certaines situations.

Côté nage, le K-Lamar est tout sauf discret. C’est un leurre qui déplace un énorme volume d’eau. Les appendices font aussi leur part du boulot. Alors, comment on le pêche ? Le plus simple, c’est une récupération en linéaire MAIS il a aussi un gros bonus dans sa manche : sa capacité à nager en walking the dog. Grâce à sa conception en deux parties, il peut facilement imprimer un mouvement gauche-droite très marqué si on le jerk un minimum. Quelques tirées bien rythmées, et il part en zigzag.

Les coloris du K-Lamar décryptés

  • Blue Diamond

Ceux qui connaissent déjà notre Blue Leman savent qu’on aime jouer sur la transparence et les nuances de bleu pour séduire les poissons difficiles, surtout en eau claire. Avec le Blue Diamond, on pousse le curseur un cran plus loin.

Ici, on est sur un bleu plus soutenu, plus profond, tout en gardant une base transparente qui capte la lumière de manière ultra naturelle. Résultat : un coloris polyvalent, pensé pour performer aussi bien dans les eaux claires que dans des conditions plus fraîches.

  • Green

Un indispensable. C’est notre coloris “4x4”, celui que tu peux sortir dans 90 % des situations. Son vert soutenu tire un peu vers le flashy. Il reste assez naturel pour les eaux claires, mais garde ce qu’il faut de peps pour rester visible en eaux plus teintées.

Un coloris polyvalent, rassurant, qui coche toutes les cases quand on ne sait pas trop par quoi commencer…

  • Brown

Redoutable. C’est le coloris qu’on sort quand l’eau est chargée, piquée, saumâtre ou tourbeuse. Là où la visibilité baisse, le Brown tire son épingle du jeu. Sa teinte dense ressort naturellement dans les milieux sombres. Il brille particulièrement lors des journées couvertes, avec un ciel lourd.

  • Pink UV

Transparent avec une teinte rose, il est taillé pour les eaux très claires. Sa couleur varie selon la profondeur à laquelle on le pêche. Un must-have pour pêcher fin et faire la différence quand la clarté de l’eau joue contre toi.

  • Orange

Parfait pour les sessions tôt le matin ou en fin de journée, ce coloris capte vite l’attention des poissons actifs.

Son côté flashy apporte un vrai plus pour déceler les touches et déclencher les attaques, surtout sur les gros spécimens. Un coloris indispensable à avoir dans sa boîte quand on veut maximiser ses chances.